« Les soi-disant ‹ progressistes › nous diraient que les enfants se débrouillent très bien sans leur mère et leur père dans une relation conjugale stable. […] Nous voudrions vous rappeler de lire un rapport publié par l’Institute for American Values en 2008 où eux et d’autres entités académiques étudiant la procréation hors mariage ont conclu que la faible estimation [c-à-d l’estimation minimaliste] du coût de la procréation non mariée, le divorce et la fragmentation de la famille aux États-Unis est de 112 milliards de dollars par an (2008) et en augmentation. On ne peut que se demander à quoi ressemblerait ce nombre s’il pouvait être calculé pour tous les pays du monde, puis combiné.
Les recherches suggèrent que bon nombre des problèmes sociaux et des désavantages abordés [c-à-d dont les coûts financiers sont assumés] par les programmes du gouvernement fédéral et des États surviennent plus fréquemment chez les enfants nés et/ou élevés par des parents seuls que chez les enfants dont les parents se marient et restent mariés.
Les risques potentiels pour les enfants élevés dans des familles fragmentées qui ont été identifiés dans la littérature comprennent la pauvreté, la maladie mentale, la maladie physique, la mortalité infantile, un faible niveau de scolarité (y compris un risque accru de décrochage au secondaire), la délinquance juvénile, les troubles du comportement, la la criminalité et le célibat précoce. En outre, la fragmentation de la famille semble également avoir des conséquences négatives pour les adultes, notamment une offre de main-d’œuvre réduite, des maladies physiques et mentales et une probabilité plus élevée de commettre ou d’être victime d’un crime.
Dans la mesure où la fragmentation de la famille entraîne des résultats négatifs pour les enfants et les adultes, elle entraîne également des coûts plus élevés pour les contribuables en raison de dépenses plus élevées dans les programmes de lutte contre la pauvreté et dans l’ensemble des systèmes judiciaire et éducatif, ainsi que des pertes pour les coffres du gouvernement en recettes fiscales perdues. »
« Les soi-disant ‹ progressistes › nous diraient que les enfants se débrouillent très bien sans leur mère et leur père dans une relation conjugale stable. […] Nous voudrions vous rappeler de lire un rapport publié par l’Institute for American Values en 2008 où eux et d’autres entités académiques étudiant la procréation hors mariage ont conclu que la faible estimation [c-à-d l’estimation minimaliste] du coût de la procréation non mariée, le divorce et la fragmentation de la famille aux États-Unis est de 112 milliards de dollars par an (2008) et en augmentation. On ne peut que se demander à quoi ressemblerait ce nombre s’il pouvait être calculé pour tous les pays du monde, puis combiné.
Les recherches suggèrent que bon nombre des problèmes sociaux et des désavantages abordés [c-à-d dont les coûts financiers sont assumés] par les programmes du gouvernement fédéral et des États surviennent plus fréquemment chez les enfants nés et/ou élevés par des parents seuls que chez les enfants dont les parents se marient et restent mariés.
Les risques potentiels pour les enfants élevés dans des familles fragmentées qui ont été identifiés dans la littérature comprennent la pauvreté, la maladie mentale, la maladie physique, la mortalité infantile, un faible niveau de scolarité (y compris un risque accru de décrochage au secondaire), la délinquance juvénile, les troubles du comportement, la la criminalité et le célibat précoce. En outre, la fragmentation de la famille semble également avoir des conséquences négatives pour les adultes, notamment une offre de main-d’œuvre réduite, des maladies physiques et mentales et une probabilité plus élevée de commettre ou d’être victime d’un crime.
Dans la mesure où la fragmentation de la famille entraîne des résultats négatifs pour les enfants et les adultes, elle entraîne également des coûts plus élevés pour les contribuables en raison de dépenses plus élevées dans les programmes de lutte contre la pauvreté et dans l’ensemble des systèmes judiciaire et éducatif, ainsi que des pertes pour les coffres du gouvernement en recettes fiscales perdues. »
Source : L’avenir appartient aux familles mariées stables [United Families International]
Données additionnelles : Non-Marital Births and Child Poverty in the United States [Brookings Institution]