Sur l’actuelle bannière d’en-tête du Monarchomaque, de gauche à droite :
- Le monument de Gaspard de Coligny à l’Oratoire du Louvre.
- La signature du Pacte du Mayflower par les Pères Pèlerins en 1620.
- Le portrait de William Kiffin, principal fondateur du baptisme réformé.
Sur l’ancienne bannière (ci-dessous), de gauche à droite :
- L’ancien emblème de l’Université Libre d’Amsterdam (la seule université protestante aux Pays-Bas, fondée par le calviniste contre-révolutionnaire Abraham Kuyper en 1880), c’est une jeune femme dans un jardin, symbolisant la sagesse et la pureté, éclairée par la présence/révélation de Dieu illustrée par des rayons émanant du tétragramme divin (« Je Suis » en hébreu = « l’Éternel ».
- La section centrale du Mur des Réformateurs à Genève en Suisse, où figurent les statues colossales de Guillaume Farel, Jean Calvin, Théodore de Bèze, et John Knox.
- La partie inférieure des armoiries de la ville de Québec, avec la devise « Don de Dieu Feray Valoir », qui reprend le nom de l’un des navires (le Don de Dieu) avec lequel Samuel de Champlain et le huguenot François Dupont-Gravé vinrent fonder conjointement Québec en 1608.
Et sur la bannière précédente (ci-dessous), de gauche à droite :
- Un timbre commémoratif représentant Pierre Dugua de Mons, huguenot fondateur de l’Acadie, premier Lieutenant-Général de la Nouvelle-France et financier de Champlain.
- La devise nationale du Québec (Je me souviens) inscrite sur un parterre de la Citadelle de Québec.
- L’insigne des protestants des Forces Françaises Libres (FFL) pendant la Seconde Guerre mondiale, arborant la croix de Lorraine, la croix huguenote, la tour de Constance et le motto « résistez » de Marie Durand.
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