Une récente enquête commanditée par les Associations familiales protestantes (communiqué vidéo | explication audio + feuillet numérique | document complet) révèle que 84 % des protestants pratiquants en France adhèrent à une conception traditionnelle (monogamique hétérosexuelle) du mariage, que 53 % sont pour le décès naturel nonobstant des circonstances médicales, et que 76 % sont opposés à l’islamisation. De plus, 55 % des évangéliques pratiquants sont défavorables au vote des étrangers dans les élections locales, tandis que 46 % des luthéro-réformés pratiquants partagent cette opinion. Par ailleurs, ce sondage effectué selon des échantillonnages représentatifs fait ressortir que les protestants français proviennent de toutes les couches sociales (et non disproportionnellement de la prétendue « haute société protestante » parisienne bobo comme le veut la maxime), et confirme la démographie très alarmante de l’Église protestante unie (théologiquement libérale) qui annonce son futur déclin.
Quelques planches :
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Voyez aussi sur Le Monarchomaque :
Le mythe de l’allégeance à gauche des protestants français
En France, le mariage religieux n’étant pas reconnu par l’État, les époux croyants doivent se marier deux fois : civilement (devant le maire) et à l’église. Voici comment les membres d’une église évangélique se comporteront dorénavant lors du mariage civil pour protester contre la redéfinition du mariage.
Le pasteur qui a fondé mon église n’a même pas son permis pour célébrer des mariages civils, par crainte qu’on le force un jour à performer des mariages homos. Dans un État païen, le mariage civil n’a aucune valeur morale. Le seul avantage peut être fiscal.
Pau, hé bien ! Il reste encore des vrais protestants par là-bas. Le Béarn-Navarre ne devrait même pas faire partie de la France. C’est Louis XIII qui a illégalement inclut cette contrée dans le domaine royal en 1620, alors qu’il n’avait jamais été couronné Roi de Navarre & Souverain de Béarn par les intéressés !
Slogan glané sur le Twitter du diffuseur de l’affiche ci-haut :